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FFVII REMAKE

Des rumeurs grouillent tels les rats dans les taudis, elles se propagent, engendrent du faux, comme accroissent le vrai. Doucement mais surement, le bruit qui court parvient jusqu'aux oreilles de tout Midgardien. Certains y croient dur comme fer, d'autres n'en pensent pas un mot. Pourtant, le ShinRa a bel et bien un laboratoire secret caché sous le secteur 7, qui oserait s'y aventurer pour y découvrir le contenu ?

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FINAL FANTASY VII REMAKENous sommes actuellement en Décembre [υ]-εΥλ 2007 sur Gaïa

C’est au bout de cette route, que le vaste monde s’ouvrait à eux. Tenant le destin entre leurs mains, le groupe devait avancer à l’aveugle, afin de rechercher des réponses, mais également trouver celui que Cloud avait autrefois combattu.

Contemplant les astres, un vieil homme se perd dans la brillance des étoiles. C’est à travers elles, que le sage comprit que le destin qu’il aurait dû connaitre, venait de voler en éclat. Est-ce une bonne chose, ou bien une mauvaise ? Après tout, chaque êtres vivaient désormais dans un monde sans ligne à suivre, et vers un futur incertain. C’était un immense brouillard qui se dressait face à eux, alors que dans l’ombre, une personne semblait s’amuser de ce flou, mais également savait comment tirer les ficelles

Sephiroth était de retour, marchant au côté de Jenova, pourtant, ils n’étaient pas les seules menaces pour les habitants de Gaïa.

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16/05 HBle forum à un an ! Joyeux anniversaire Forum ♥
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©FF-7. Forum crée le 16/05/20 par Lady, Beuah et Amadriel, le contexte prend suite après Final Fantasy VII Remake, intrigue crée par votre Staff, aucun plagia ne sera toléré. L'univers de Final fantasy appartient entièrement à Square Enix.

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MessageSujet: Les fanfics du forum by Beuah Les fanfics du forum by Beuah  EmptySam 23 Jan - 22:21
Coucou les gens ! Je posterai ici, message après message, les petites fanfics que m'inspirent le forum et ses RP ! Soyez libres de les commenter ici si vous voulez, ou ailleurs, ou pas du tout, bref voilà voilà ~!

En ce qui concerne les fanfics en général, si vous êtes curieux.euses de lire les miennes, vous les trouverez sur mon AO3 et sur mon FFNet. Au menu, du Saint Seiya, du Final Fantasy VII, du DuRaRaRa!!, du Samurai Champloo puis des fanfics plus honteuses sur lesquelles je cringe aujourd'hui. J'ai un penchant pour la parodie mais vous n'êtes pas à l'abri de gros drama, héhéhé. Bref.

Voilà voilà, bonne lecture, je démarre au prochain post !
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MessageSujet: Re: Les fanfics du forum by Beuah Les fanfics du forum by Beuah  EmptySam 23 Jan - 22:30

Le Balcon

— ‘Leeeeeenooooooo !
— Hein… ? … Ah, yo !
— Ouvre les bras !
— Khora, att-


***

εΥλ 1995 — JUNON

Encore une histoire qui se déroule là-haut, pensèrent-ils à l’unisson, avec un soupir mental. Les fiançailles avaient été annoncées, datées, célébrées, même, et Reno se surprit à chercher quelque inscription quelque part sur tout le marbre qui décorait le vaste appartement niché dans les hauteurs de Junon, surplombant l’océan comme un défi de l’homme moderne lancé à la nature. Là-haut, parce qu’avec eux cela avait toujours été comme ça : tu es en haut, je suis en bas, et par un heureux ou malheureux hasard nous nous rejoignons au même endroit, quitte à ce que tu sautes, ou que je grimpe.

Khora, quant à elle, se laissait à nouveau guider, comme elle le faisait depuis qu’elle avait été invitée à apparaître au sein de la coupole de la ShinRa. Après une visite formelle des appartements dans lesquels elle séjournerait aux côtés du Vice-Président, avec toutes les formalités qui en découlaient – impliquant là même l’escorte des Turks, elle serait enfin à la place qu’on lui avait attribuée, sans plus de cérémonie tournant autour de son humble personne. Elle occuperait le grand lit qu’elle entrevoyait encore en quittant la pièce trop grande pour elle, peut-être s’agissait-il là du lit conjugal ou bien de sa propre chambre, elle n’avait pas entendu cette partie du commentaire – pourtant donné par Rufus lui-même – car ses pensées allaient vers tout autre chose.

Le tour du propriétaire s’acheva là, dans l’entrée. De l’autre côté de la porte donnant sur le couloir de l’immeuble, Rude et deux fantassins locaux surveillaient les environs. Le Turk aux lunettes teintées attendait qu’on lui annonçât la relève. Le débriefing de l’opération d’escorte se ferait certainement dans un bar du boulevard principal de la ville, à l’abri des regards indiscrets et devant quelque boisson des plus bienvenues célébrant la fin du service. Il comprendrait sûrement pourquoi, derrière son attitude nonchalante – et même provocante – en tout point semblable à son comportement habituel, Reno semblait par moments absent, voire dépité. L’ennui qu’apportait une telle mission, très certainement. Veld devait très certainement mettre sa nouvelle recrue à l’épreuve, et vérifier sa loyauté ainsi que sa polyvalence. Le chauve avait toutefois secrètement souhaité que quelqu’un vînt tenter de saboter la réunion des futurs époux, histoire d’obtenir quelque prétexte à voir son nouveau binôme attitré se déchaîner – car il avait l’intime conviction que quelque chose grondait tant et si fort chez le faux roux qu’une tempête aurait éclaté au moindre accroc provoqué par un gêneur. Rude n’était même pas sûr de savoir s’il pourrait canaliser cet énergumène dont il a déjà maintes fois entendu parler au département des SOLDIER – et pourtant il n’était pas dans la compagnie depuis si longtemps que cela lui non plus. Si Veld le pensait, il fallait le croire. Même si, à ce moment-là, Rude commençait plutôt à croire qu’on les avait mobilisés tous les deux spécifiquement afin que le directeur des Turks et son second fussent épargnés de ce genre d’expéditions chronophages… Cela pouvait se comprendre, surtout quand l’on était sur place et voyait tout ce faste fait de pierres froides. Le Vice-Président lui-même devait bien s’ennuyer, dans sa cage dorée…

Et il ne serait désormais plus le seul. Ses valises déposées dans une chambre qui lui était strictement personnelle, Khora commençait à projeter au-delà de l’immense baie vitrée, devant ses yeux voilés par la fatigue du voyage, la vie qu’elle passerait là, jour après jour. Les consignes données par la Présidence avaient été strictes : sauf pour quelques apparitions officielles, Madame Shinra ne devait pas quitter le territoire de Junon. Si son investissement dans la compagnie était un plus qu’on n’exigeait point d’elle, il fallait cependant qu’elle suive son mari dans toutes ses entreprises, et lui-même devait suivre la ligne soigneusement tracée, nette et sans bavures, de son illustre géniteur. Un sourire cynique, qu’elle mit sur le compte de sa fatigue, releva légèrement les commissures de ses lèvres – que quelqu’un dans cet appartement savait douces. Elle devinait déjà que ces instructions seraient quelque peu bousculées, à l’avenir. Comme pour apporter une confirmation à son pressentiment, le même genre de sourire apparut sur la large fenêtre, reflet de celui qui était apparu derrière le creux de son cou.

— Voilà donc mon humble empire. Navré, c’est tout ce que j’ai à t’offrir.

Encore drapé dans la blancheur scandaleuse de son manteau, Rufus Shinra ouvrit les baies de la chambre et invita sa compagne officielle à prendre l’air frais du crépuscule avec elle. Elle accepta sans réticence, ravie d’être accueillie par le vent d’un autre monde que celui qui l’avait vue naître et grandir – un vent pourtant tout aussi pollué. Alors que sa chevelure blonde à peine tressée commençait à se soulever lentement, brin par brin, pour danser au rythme de la tramontane junienne, Rufus semblait tenter de maintenir sa propre coiffure en ordre alors que sa voix chaude enrobait de nouveau les environs.

— Mon père me disait souvent de regarder attentivement la vue que l’on avait depuis chez nous, pour bien connaître tout ce qui nous appartient…

Son sourire devint plus franc.

— Si je te donnais le même conseil, j’aurais l’impression de te faire une boutade. Tout ça… Non, cela ne nous est pas acquis.

Son regard azur, à son tour, s’affirma.

— Pas encore.

Peut-être jamais, semblait ajouter le vent qui soufflait derrière leurs oreilles, pour filer entre les pierres des récifs environnants. J’y travaille, semblaient pourtant asséner les yeux perçants de l’exilé, rivés sur le profil de la proéminence redessinant tout le paysage avec lequel ils cohabitaient – le Canon Mako.

Était-ce donc ce à quoi Khora assisterait chaque jour de sa vie à partir de ce soir-là ? Se lasserait-elle d’une telle représentation ? Finirait-elle par ne plus s’intéresser à la vue que ces fenêtres exagérément larges lui offraient ? Appuyée à la rambarde d’un balcon qui serait le sien, son regard glissa vers tout ce qu’on ne lui avait pas présenté un seul instant. Les pierres et les dalles plus âgées en contrebas, sur lesquelles s’étaient fracassées des baraques de pêcheurs plus âgées que ses propres grands-parents. Les riverains et citadins qu’elle ne verrait pas depuis ce lotissement confortablement reculé de la ville, aussi bien haute que basse. Ce balcon deviendrait alors le théâtre dans lequel elle imaginerait, avec un acharnement méticuleux, tout ce qu’elle ne pourrait voir ni avoir même si Rufus y mettait du sien – après tout pourquoi voudrait-il descendre de la pyramide désormais qu’il était presque à son sommet et semblait déterminé à la dominer ?

Elle n’entendit pas Rufus la quitter respectueusement, pour la laisser à ses songes et à son appropriation des lieux, pas plus qu’elle n’entendit la porte de l’appartement se refermer sur ses rêves d’enfant après un ordre donné dans la plus grande simplicité. Non, tout ce qu’elle écoutait, perdue au milieu d’un vent qui semblait la contourner, c’étaient des rires, et l’écho d’un pas qui ne pouvait que se répercuter dans sa tête saturée d’espoirs déchirants. C’est comme s’il était là, en dessous, pour aller ailleurs… Elle pourrait l’arrêter… En… Non, elle ne pouvait plus rien arrêter. Il n’était plus là. Il n’était jamais passé par là. Il n’avait pas pu…

Il n’avait pas pu relever la tête. Toute la soirée, il l’avait passée le nez baissé, les dents serrées. Tout l’alcool du monde ne détendrait jamais sa mâchoire crispée, pas plus que les mots qu’il daignait donner à son collègue sur l’accomplissement de leur mission. Il tentait de sourire avec désinvolture, mais cela lui paraissait aussi vide et absurde que la décoration intérieure dans laquelle il avait piétiné avant de se rendre dans ce bar avec Rude.

Quand Tseng, qui jetait alors moult œillades inquiètes à Veld derrière lui, lui avait présenté l’ordre de mission détaillé de la surveillance des fiançailles de Rufus Shinra, présentant toutes les étapes de la cérémonie et la fiancée par la même occasion, un poids s’était abattu sur la nuque de la nouvelle recrue, tant et si bien que celle-ci ne savait toujours pas si elle pourrait se redresser un jour. Evidemment, Reno n’avait pu qu’en rire, ce jour-là, dans le quartier général de la ShinRa. « Du vrai pipi de chat ! », cette mission, pour des hommes de main tels que Rude et lui. Un « pipi de chat » qui lui rappelait ô combien rien dans sa vie ne semblait dû au hasard, tant l’acharnement sur lui était constant. Un instant, il se surprit à regarder le paysage à travers la fenêtre de ce bar de la ville haute, en se demandant s’il ne valait pas mieux qu’il en sautât. Rude sembla capter son regard, et y répondre par une expression perplexe.

— Vivement qu’on décolle, mec. Tout est minable, ici. Même la bière est dégueulasse.

Oh, Reno le savait très bien, que ce n’était pas tant la bière que ça, le problème – même si celle-là ne devait pas être bien fameuse. Le problème venait plutôt du goût que le Turk fraîchement nommé croyait pouvoir faire partir avec.

Elles étaient douces, pendant toutes ces années. Quoique plus salées qu’à l’accoutumée, la dernière fois. La dernière fois… Il n’y avait même pas eu de dernière fois, tout compte fait. Quoi qu’il en fût, il allait falloir les oublier, désormais. Avec d’autres, sûrement. Le goût du dépit finirait-il par disparaître un jour ? Se lasserait-il un jour de ses propres pensées ridicules ?
Rude avait répondu à sa vocifération ennuyée par quelques mots, mais il n’entendait déjà plus son acolyte. Non, tout ce qu’il écoutait, perdu au milieu de clients qui semblaient le contourner, c’étaient des rires, et l’écho d’un froissement de tissus qui ne pouvait que se répercuter dans sa tête saturée d’hallucinations pathétiques. C’est comme si elle était là, au-dessus, espérant pouvoir aller ailleurs… Il pourrait la récupérer… En… Non, il ne pouvait plus rien arrêter. Elle n’était plus là. Elle n’était jamais passée par là. Elle n’avait pas pu…

***

— ‘Leeeeeenooooooo !
— Hein… ? … Ah, yo !
— Ouvre les bras !
— Khora, att-
— Hihi !
— La prochaine fois, j’te laisse tomber, et j’me marrerai devant ta tête écrasée par terre comme une crêpe !
— Tu ferais jamais une chose pareille !
— Tu paries ? Des gamines qui tombent de balcons, ça arrive beaucoup plus souvent que tu le crois ! Ça serait même pas d’ma faute !
— Mphf ! Tais-toi et emmène-moi avec toi, plutôt !
— Et si j’allais voir une autre fille ?
— On fera connaissance ! J’ai toujours voulu me faire des amies !
— T’es pas possible, p’tain…


Elle l’embrassa, et il la laissa faire sans rechigner, alors qu’il la portait en se frayant un chemin sous les balcons vétustes des Taudis plongés dans la pénombre du crépuscule.




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